Chaque numéro de Sphères explore une communauté de passionnés pour en raconter les grandes histoires. Parce que découvrir la passion d'une personne, c'est dévoiler ce qu'elle a de plus intime et de plus essentiel. Et découvrir une passion partagée par des milliers d'autres, c'est comprendre une facette de notre société.
Ce numéro vous propose d'explorer l'univers des grimpeurs. L'esprit journalistique et esthétique de Sphères appliqué à cette communauté de plusieursmillions de personnes en France et un secteur, l'escalade, en très forte croissance. De quoi analyser, en 144 pages, ce que l'univers de la grimpe dit de notre rapport au corps, à l'environnement et à notre besoin d'évasion.

Et on remet le son

"A voir le nombre de runners « pendus » à leurs écouteurs durant leur sortie (ou est-ce l'inverse ?), voire pendant une compétition, force est de constater que Musique et Course à pied semblent faire bon ménage... Une union qui peut parfois sembler contre-nature, tant il est coutumier de vanter la volonté d'isolement et de retour « au calme » dans des endroits silencieux, comme facteurs premiers expliquant la pratique sportive, et notamment la course à pied. C'est d'ailleurs une pratique officiellement interdite par la fédération internationale (et nationale) d'athlétisme en compétition. Essentiellement pour des raisons de sécurité, puisque écoute de la musique empêche notamment de bien saisir ce qu'il se passe autour de soi. Mais aussi, osent certains, car elles pourraient être considérée comme une aide extérieure (aussi parce qu'avec des casques connectés on peut recevoir des appels, et donc des possibles consigne sou infos à distance).

Comme nous le verrons dans ces pages, rien n'est moins sûr. Du moins rien n'est scientifiquement prouvé. Aussi parce que la musique, ou les « bpm » peuvent alors l'effet inverse que celui escompté, à savoir lancer le coureur sur un mauvais rythme et le faire déjouer. C'est sans doute aussi pour cela que la chasse aux « contrevenants » n'est pas organisée, ni trop suivie.

Et c'est sans doute heureux. Car si « la musique adoucit les moeurs », comme nous avons coutume de le lire et de l'entendre, elle recèle de mille autres vertus pour le coureur, qu'il soit quidam ou champion. Hassan Chahdi, « Casquette Verte », Baptiste Chassagne ou Anäis Quéméner, entre autres, vous convaincront rapidement, par leurs témoignages dans ces pages. « J'écoute de la musique sur le dernier tiers de mes sorties, un peu comme une récompense, ou comme le petit booster final » explique ainsi Baptiste Chassagne, « teufeur » aussi confirmé qu'il l'est sur la scène de l'ultra. « Si aujourd'hui je suis assez performant de nuit en ultra, c'est parce que j'ai passé quand même pas mal de nuits dehors en concert » ose même le champion de France de trail 2023.... « Musique et Running partagent l'importance de l'énergie du moment et de l'adrénaline ressentie, offrant une évasion émotionnelle et un moyen de canaliser le stress. Elles permettent toutes deux de se connecter profondément à soi-même et de renforcer le bien-être global. Avec du son dans les oreilles, on peut vraiment se transcender, voire oublier un peu la douleur » ajoute pour sa part le DJ lyonnais Nofraje, tombé dans le son et le run au plus jeune âge.... La musique peut aussi rassembler, créer un groupe et une identité, et pousser à mettre les baskets comme nous le voyons dans de nombreux « crews » de grandes villes....

Assez parlé. On vous laisse vous faire votre avis, et profiter de toutes ces playlists de champion. « Et on remet le son.... ».... Lire la suite Fermer

Ce numéro de PANARD est consacré à celles et ceux qui prennent le contre-pied du football business. Il nous amène du côté des « Sociochaux » qui inventent une nouvelle gouvernance associative, des socios en général avec une analyse sur la percée de l'actionnariat populaire, du Bohemian FC qui a placé la lutte face aux injustices au coeur de son projet sportif, de la figure tragique de Justin Fashanu, premier joueur à avoir effectué son coming out et nous chanterons de Liverpool à Tokyo You'll Never Walk Alone pour mieux nous imprégner de l'histoire de cette comédie musicale.

Nous plongerons en eau glacée avec Marion Joffle, la « tête de série » de ce numéro, frissons garantis, ainsi qu'en piscine pour découvrir la façon dont le rugby se pratique sous l'eau. Nous ferons un détour par l'Erythrée pour mieux comprendre comment un héritage colonial est devenu une passion nationale puis par le Cambodge pour découvrir l'essor de la boxe khmère revisitant le rituel de Bokator.

A découvrir aussi dans ce numéro des articles sur le sous-traitement médiatique du sport féminin, une fiction sur Margot Hunedière, joueuse de paume, un récit sur Eugène Maës, icone oubliée, les avancées de l'écologie dans le sport et les amateurs qui font le sport au quotidien... Lire la suite Fermer

Tu es citadin.e et tu trouves que ça craint ? Forrest va te consoler.

Ah ouais, la montagne, cest mieux que la ville ? Tu rêverais de texpatrier à Chamonix. La ville te rappelle que ton boulot et tes obligations tempêchent de faire ce que tu veux vraiment. Et tu trouves ça morne de faire le tour du pâté de maisons dans la pollution et les bruits de klaxons. Triste tableau hein ! Mais nooooon !
Comme à son habitude (3 numéros, on peut dire que cest une habitude ?), Forrest te vient en aide. Ce #3, Citizen Run, va te faire aimer la ville comme ton premier amour. Ou ton dernier, tu choisis. Citizen Run va te montrer ceux qui kiffent la ville, ceux qui nont besoin ni de piste, ni de désert, ni de chemins rocailleux. Citizen Run va te montrer comment courir stylé, comment courir chez toi mais en montagne, comment te perdre dans les rues de Grenoble alors que les sommets environnants te font du pied. Tu vas découvrir ou redécouvrir lineffable Casquette Verte, partir ou repartir sur les traces de Gainsbourg, voir ou revoir ou redécouvrir les meilleurs scènes de poursuite (à pied hein) du cinéma, rire ou rerire en lisant linterview de lhumoriste Baptiste Lecaplain. Tu en veux encore ? Forrest #3 CITIZEN RUNNER, cest.
164 pages qui se lisent comme un livre, mais un livre rythmé au son des vrombissements de métro et des cris denfants.
13 histoires qui se lisent comme des nouvelles, avec de lémotion, de lenvie, un peu de goudron et des passages secrets. Lire la suite Fermer

Des empires sont nés sur tous les continents. On les pensait dépassés depuis la généralisation des États-nations. Mais si les empires ont bien chuté, le désir de toute-puissance n'a pas disparu. La Chine et les États-Unis se disputent le leadership mondial, les multinationales concurrencent les États, la Russie rêve de retrouver sa grandeur passée... De l'Antiquité à nos jours, ce numéro déroule en cartes le film des empires, pour mieux comprendre le monde actuel et inventer notre futur.

PANARD #5
Spécial JO
Olympiades culturelles
Quand l'art et le sport se rencontrent...

La revue qui met le sport en récit et les deux pieds dedans

Dans PANARD, des écrivains livrent leur histoire du sport, des sportifs racontent la façon dont ils le pratiquent et le ressentent, des chercheurs analysent l'évolution de ce phénomène de société, devenu incontournable. PANARD parle de la culture du sport, de ses événements mythiques et anecdotiques, du sport du haut niveau comme de caniveau, et propose un nouveau regard sur le sport.

Au sommaire de ce numéro :

- L'ultra-fond et ses sensations par Stéphanie Gicquel

- Portrait au long cours par Léon Marchand

- Table ronde avec quatre personnalités, à la fois artistes et sportifs reconnus

- Portrait de l'athlète-pianiste Micheline Ostermeyer par Fanny Wallendorf

- Docko-Tolofua, l'amitié à l'épreuve du même sommet par Antoine Grenapin

- Corpo - Ces personnes qui s'investissent conjointement dans le sport et la culture

- La cérémonie d'ouverture d'Albertville de Philippe Decouflé par Pascale Henrot

- La littérature et le sport, un long chemin sinueux par Julie Gaucher

- La mise en scène dans le sport, comme dans le théâtre par Magali Sizorn

- Le footballeur-artiste, le sportif en résidence, pour quoi faire et quel devenir ? Par Valentin Deudon

- Le haka, identité culturelle, folklore ou arme guerrière ? Par Sébastien Vaissière

- Des concours d'art aux Olympiades culturelles par Julie Gaucher

- Le street art comme micro-politique de l'espace public : entre « artivisme » et coopératisme par Thomas Riffaut

- L'Afrique, hors radars des JO par Claude Boli

- Parcours à travers les sites de Paris 1924 par Gabriel Bernasconi Lire la suite Fermer

Ce numéro de PANARD donne une place conséquente aux sports nautiques, la voile, le kitesurf et le surf, à travers leur dimension de nature, l'engagement des sportives et sportifs pour la planète, l'aspect contemplatif, à rebours de la compétition. Comme d'habitude, le sport féminin y est particulièrement représenté à travers les figures d'Armelle Courtois et de Virginie Hériot mais aussi le foot féminin et l'alpinisme féminin. Également au sommaire du baseball, du basket fauteuil et du kung-fu...

Il n'y a pas de problèmes, il n'y a que des solutions ! Ce grand succès des Hors-série du magazine de Voiles et voiliers, est consacré aux différents soucis qui peuvent survenir en croisière. Depuis les difficultés intervenant lors d'une manoeuvre jusqu'aux pannes de moteur, en passant par les avaries sur la coque, les voiles ou le gréement. Des ennuis les plus bénins ou les plus triviaux, comme les toilettes bouchées, l'écoute qui surpatte, ou la panne sèche, aux plus préoccupants tels la voie d'eau, le démâtage ou la rupture de gouvernail. De l'imprévisible comme la panne de guindeau à l'impondérable qui s'est déjà produit et se reproduira, comme un mouillage qui chasse. Certaines avaries complexes ou rédhibitoires requièrent l'intervention d'un professionnel, ont été écartées. Les 50 problèmes ici recensés sont de ceux qu'un équipage doit pouvoir résoudre avec les moyens du bord, un peu de savoir-faire, de sens marin et de méthode. Les solutions proposées ne sont pas théoriques, elles ont été validées par l'expérience de la rédaction de Voiles et Voiliers, par celles des lecteurs qui racontent leurs fortunes de mer dans la rubrique « Ça vous est arrivé » du magazine, et par les tests que nous avons réalisés sur l'eau, avec la collaboration des Glénans, qui a mis à notre disposition du matériel et plusieurs bateaux pour simuler des avaries ou valider des solutions. La contribution des Glénans ne s'est pas limitée à une aide logistique. Parce qu'ils forment en toutes saisons des milliers de stagiaires lors de navigations dont le programme va du cabotage à la traversée océanique, parce que leurs bateaux en voient de toutes les couleurs, les responsables du secteur croisière et les personnes en charge de la maintenance des trente croiseurs de Concarneau ont fournis une mine de renseignements, de conseils et de retours d'expériences. Les techniques et les méthodes proposées au fil des pages ne prétendent pas à l'exhaustivité, il existe parfois des alternatives ou des variantes, mais elles sont éprouvées. Elles vous seront utiles, dans votre pratique quotidienne de la voile, ou lorsque surviendra l'imprévu. Le pire n'est pas toujours sûr, et les croisières ne sont évidemment pas des litanies d'avaries ou d'ennuis. Mais la meilleure manière de naviguer serein est précisément d'anticiper et d'être prêt à réagir lorsque surviennent les pépins. Lire la suite Fermer

Forrest
L'art de courir autrement
Running, Culture , Société

Il y a déjà 2 ans l'équipe Outdoor Editions produisait un OLNI- Objet Litteraire Non Identifié-consacré à la course à pied au nom évocateur : Forrest, en clin d'oeil aux fameux livre et film « Forrest Gump »
Un Mook, véritable mélange de magazine et de livre- qui traitait de L'Art de Courir », dans tous les sens du terme. Forrest connu un véritable succès, mais hélas des difficultés structurelles ont empêché l'éditeur lyonnais Outdoor Editions de prolonger l'aventure.
Plusieurs mois après, un nouveau départ est pris par l'équipe Outdoor Editions au sein de sa nouvelle structure Outdoor NG.
Ce nouveau départ, il concerne aussi Forrest, car ce dernier nous inspiré pour la Nouvelle formule de VO2 RUN qui a vu le jour.

Forrest,
Qu'est-ce que c'est ?

Une revue trimestrielle qui traite de la course à pied et du running autrement.
Un magazine premium, au format mook.
Une ligne éditoriale ouverte sur un angle sociétal du running.
Tous ceux qui courent et tout ce qui court seront réunis dans cette formule. Lire la suite Fermer

Jeux de sociétés

Qu'on l'aime, l'ignore ou le déteste, le sport ne laisse personne indifférent. Pratique sacrée dans l'Antiquité, loisir de notables au XIXe siècle, exercice de dépassement des limites aujourd'hui...

Le sport s'est largement démocratisé sur toute la planète pour devenir aujourd'hui l'objet d'enjeux géopolitiques et financiers colossaux.

Sans oublier le plaisir du jeu !

PANARD #4 La Barkley, la Terminorum, Aurélien Sanchez, Stéphanie Gicquel...
Ultra-trail : « Seuls face à l'immensité » La revue qui met le sport en récit et les deux pieds dedans Dans PANARD, des écrivains livrent leur histoire du sport, des sportifs racontent la façon dont ils le pratiquent et le ressentent, des chercheurs analysent l'évolution de ce phénomène de société, devenu incontournable. PANARD parle de la culture du sport, de ses événements mythiques et anecdotiques, du sport du haut niveau comme de caniveau, et propose un nouveau regard sur le sport.

Au sommaire de ce numéro :

- Sur les chemins de halage, au rythme lent de la course à pied par Stéphanie Gicquel - Aurélien Sanchez - De la Barkley à la Terminorum, l'ultra-trail comme source d'introspection par Théo Faugère et Orane Benoit - Ronda Rousey, pionnière du MMA - Fuck the stereotype par Ianis Periac - Te laisse Club en héritage par Valentin Deudon - Basketteurs de l'ombre - Quand le rêve américain s'enlise dans la France de seconde zone par Antoine Grenapin - Le vélo et les mots - Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le peloton sans jamais oser le demander par Paul Fournel - Dans la roue de Richard Virenque - Revoir Marie Blanque par Axel Puig - David Berty, face à la maladie - Remontador par Sébastien Vaissière - Deux siècles face aux préjugés- La difficile ascension du cyclisme féminin par Edwige Prompt Corpo - Ces invisibles du sport amateur - Les navétanes au Sénégal - Une prise de parole des quartiers par le foot par Christophe Blandin-Estournet - L'implantation du rugby à Toulouse - Le Midi en Capitale par Sébastien Vaissière - Manchester, le foot et la pop - Dans le sillon musical d'Éric « The King » par Claude Boli - La rubrique du sport écolo par Michaël Ferrisi Lire la suite Fermer

Au carrefour des différentes questions de société, le sport s'avère être un prisme révélateur des aspirations de chacun et des évolutions de notre monde. Plus qu'un sujet de santé publique et qu'une économie, le sport est de plus en plus appréhendé comme un terrain d'expérimentation, portant les promesses d'une société plus égalitaire, plus juste (lutte contre toutes les formes de discrimination et contre le sexisme) mais aussi plus respectueuse de l'environnement. Inclusion, égalité, respect, sobriété, tels sont notamment les mots clés portés par le comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques qui se dérouleront à Paris à l'été 2024. Au-delà d'un simple état des lieux, ce numéro de Cahiers français met en lumière le rôle du sport comme vecteur de cohésion et d'intégration sociales. Lire la suite Fermer

Véritable fête des sons, du rythme, des rimes et des souvenirs, le livre-poème, Poulidor enfin !, célèbre en 679 vers un Géant du Tour au sommet de son art.
En effet, le 15 juillet 1974, Raymond Poulidor attaquait au pied du Pla d'Adet, ascension finale de la 16ème étape du Tour de France (Seo de Urgel - Saint-Lary-Soulan, 225 km). Ce jour-là, Raymond Poulidor remportait, à 38 ans, l'une de ses plus belles victoires et faisait entrer le Pla d'Adet, escaladé pour la première fois, dans la légende du Tour.
Ce poème en hommage au champion est comme le dit l'auteur « à dire ou à hurler en s'accompagnant d'un marteau à battre le cuir et d'une poêle à châtaignes ».

"Comment peut-on demander à un opérateur de dépenser des millions d'euros pour financer une telle farce ? " : Vincent Labrune, Nasser Al-Khelaïfi, Florentino Perez, Uli Hoeness, Pape Diouf, Jaume Roures ont tous un point commun : ils ont cramé des millions pour faire plaisir aux supporters de foot.
"Comment peut-on demander à un opérateur de dépenser des millions d'euros pour financer une telle farce ? " : Vincent Labrune, Nasser Al-Khelaïfi, Florentino Perez, Uli Hoeness, Pape Diouf, Jaume Roures ont tous un point commun : ils ont cramé des millions pour faire plaisir aux supporters de foot. Parfois pour le meilleur, souvent pour le pire.

Jaume Roures revient en exclu sur le fiasco Mediapro (et en profite pour asséner quelques vérités sur le foot français), Christophe Bouchet, ancien patron de l'OM et ami de l'After tire le portrait (craché) de Vincent Labrune. D'autres grands témoins nous parlent du métier de dirigeant : Carlo Ancelotti, Laurent Nicollin (Montpellier) et Fabrice Bocquet (DG de Nice).

Comme d'habitude, autour de Gilbert Brisbois et Daniel Riolo, actu, nostalgie, opinions tranchées ou unpopular, interviews exclusives, recommandations, jeux et contributions d'abonnés avec l'équipe de l'After

Tous les deux mois, la Revue de l'After, c'est le rendez-vous incontournable de l'opinion foot. Lire la suite Fermer

Caviar Magazine est un ouvrage à mi-chemin entre le livre et le magazine qui s'attache à faire du football un fait de société, carrefour de thématiques multiples.
Le sport le plus populaire du monde a cette capacité-là. Il réunit, intéresse, et qu'il plaise ou non, ne laisse personne indifférent.
Dans Caviar, le football est donc un prétexte pour parler de la société tout entière. S'il s'adresse aux fans de football, cet ouvrage a aussi pour objectif de réconcilier le sport roi avec celles et ceux qui le fuient.
L'objectif de Caviar Magazine, c'est aussi de rendre accessible un ensemble de thématiques habituellement réservées à un public plus fermé. Comprendre la passion d'Albert Camus pour le football est un merveilleux moyen de se plonger dans ses ouvrages.
Saisir la rivalité entre deux clubs, l'un serbe, l'autre croate, est un outil formidable pour comprendre et s'intéresser aux guerres de l'ex-Yougoslavie.
Dans Caviar, le football est donc une porte d'entrée, un pont-levis pour accéder à une forteresse culturelle, sociale et intellectuelle parfois un peu fermée.
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« On ne peut pas faire l'éloge de la bicyclette sans parler de soi » Marc Augé.
C'est sans doute ce qui rend si malaisé l'évocation de cet objet complexe, qui fait corps tant avec notre histoire sociale, économique, culturelle qu'avec notre histoire personnelle. Qui ne se souvient pas de son premier vélo ? De ses premières chutes ? Qui n'a jamais assisté à une étape du Tour de France ?
Omniprésente dans nos vies, la bicyclette est à la fois une pratique sportive, un bien industriel et de consommation, un moyen de locomotion, un marqueur d'identification sociale, un enjeu pour l'aménagement du territoire et un facteur d'émancipation.
C'est avec l'intention de ne pas réduire sa complexité que nous avons établi ce dossier de la revue 303, avec l'idée aussi d'utiliser le vélo comme un révélateur de notre culture, de notre rapport au monde et à notre environnement.
Ainsi sera-t-il question de sport, de tourisme et d'environnement, mais également d'histoire sociale et industrielle, de politique et d'arts de vivre, d'urbanisme, de littérature, d'arts visuels et de design où se mêlent les échelles locale, régionale et globale. Lire la suite Fermer

PANARD est la nouvelle revue des éditions de l'Attribut. Elle a pour vocation à raconter le sport à travers ses légendes, ses figures, ses événements épiques ou anecdotiques, restés dans les annales ou oubliés par des écrivains. Appréhender la culture du sport, à travers son histoire et sa pratique par des spécialistes et des praticiens. Questionner l'évolution du sport, ses enjeux et son influence dans nos sociétés par des chercheurs. PANARD c'est la revue qui met le sport en récit et qui met les deux pieds dedans.

Et voilà qu'après un long échauffement, démarre aussi ce Tour déjanté : la dernière, désopilante BD de DuBouillon, dessinateur de Zélium, et du Progrès de Lyon. Il s'agit d'une refonte totale et augmentée, revisitée et toute en couleurs de Le Tour du DuBouillon, succès cyclo-éditorial jadis diffusé dans la région Rhône Alpes. 68 pages d'aventureuses embûches, histoires loufoques, zygomatiques légendes et drôles de réflexions autour du et inspirées par le Tour le plus couru. Délicieusement retro, tantôt léger, tantôt profond, gentiment méchant et méchamment gentil, l'humour de DuBouillon entraînera les spécialistes de la petite reine aussi bien que les amateurs, et même les novices ! Car pour devenir fan du Tour déjanté, apprécier le vélo et ses compètes est certes recommandé, mais c'est loin d'être indispensable. Lire la suite Fermer

AF15: le foot c'est mieux que le sexe !

L'IFOP l'a dit en février : les Français font de moins en moins l'amour ! Chez les 18-24 ans, le taux d'inactivité sexuelle a même été multiplié par 5 depuis 2006. En cause: la concurrence des écrans : 50% des hommes reconnaissent d'ailleurs avoir déjà évité un rapport sexuel pour se mettre devant un écran.
AF15: le foot c'est mieux que le sexe !

L'IFOP l'a dit en février : les Français font de moins en moins l'amour ! Chez les 18-24 ans, le taux d'inactivité sexuelle a même été multiplié par 5 depuis 2006. En cause: la concurrence des écrans : 50% des hommes reconnaissent d'ailleurs avoir déjà évité un rapport sexuel pour se mettre devant un écran.
Et si tout cela était à cause du football, de la profusion des matchs, de la multiplications des tentations footballistiques ? L'After le dit depuis toujours : le foot c'est mieux que le sexe !


Pour cet été, l'équipe de l'After crée l'événement avec ce numéro "100% plaisir". Au programme : la grande partouze du spectacle du football, foot et natalité, l'obsession de la performance, interviews "plaisir" de joueurs et entraîneurs, la nostalgie des amours de vacances et de la coupe Intertoto.
Les meilleures plumes pour la revue de référence de la culture foot et de la culture After. Lire la suite Fermer

Au programme de ce numéro : Dossier : Loin du Qatar, près du sport Tête de série : L'apnéiste Alice Modolo - Plongée dans le sublime, par Éric Fourreau Panenka Corpo : Ces invisibles du sport amateur Arrêts de jeu Prolongation : Ces ouvrages à lire ou à relire

Vous pensiez que le ski avait été « inventé » dans les Alpes au XIXe siècle ? Ou que les Scandinaves nous en avaient soufflé l'idée bien avant. Grave erreur ! Si l'on en croit le Science Monitor, la pratique de la glisse sur des planches incurvées serait née dans les montagnes de l'Altaï, aux confins de la Chine, de la Mongolie et de la Russie, au point du monde le plus éloigné de tout rivage maritime, il y a plusieurs millénaires !
C'est cette grande saga de l'histoire de la glisse que vous conte ce numéro. Un ski d'abord conçu comme objet utilitaire et qui va essaimer sous d'autres formes. Ainsi de la schlitte qui, dans les Vosges, assemble deux skis parallèles et un plateau pour pouvoir descendre les billes de bois depuis les hautes chaumes jusqu'au village par des chemins parfois très escarpés. Ou encore la « ramasse », ce mode de déplacement sur neige inventé pour transporter les voyageurs bien avant le Grand Tour et dont on connaît quelques exemples avérés, notamment entre le col du mont Cenis et Lanslebourg, en Savoie. Dès 1581, Montaigne évoquait d'ailleurs ces vertigineuses descentes, tout comme l'astronome de Lalande en 1765 : « Au moyen de crampons de fer attachés à ses souliers, il arrête le traîneau quand bon lui semble, il se renverse alors sur la personne qu'il conduit pour empêcher l'effet du choc qui pourrait la jeter en avant et même renverser et culbuter le traîneau. » Ces ancêtres de notre luge qui ravit aujourd'hui les bambins ont connu eux-mêmes nombre de déclinaisons comme le patin à glace, attesté dès le xvie siècle, ou encore le bobsleigh. La fin du dernier millénaire aura enfin donné naissance à toutes les pratiques fun de la glisse : monoski, snowboard, snowkite et autres skwal. Des loisirs qui ont eux-mêmes généré leur propre écosystème culturel autour de l'idée de la fête et de la liberté, de la musique, des modes de vie et même des expressions artistiques. En témoignent ces jeunes créateurs qui dessinent de gigantesques motifs géométriques dans la neige à même le paysage. Autant d'oeuvres d'art monumentales et fugaces qui disparaîtront dès la fonte des neiges. En somme : culture glisse !
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