Sciences humaines & sociales
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« Alors que j'achevais la rédaction de ce livre, la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques est venue raviver le feu de ma plume : la France est la victime d'un mémoricide. Une ablation de sa mémoire. Une spoliation, une péremption de ses souvenirs. L'Esprit français a été immolé.
Toute ma vie, je me suis battu. Contre un progressisme en quête incessante des figures nouvelles de l' insolite et du fantasque. Mais surtout pour renouer le fil avec la mémoire commune qui nous a façonnés, en chérissant les trésors d'un patrimoine envié par le monde entier, et pour rappeler le pacte vingt fois séculaire entre la grandeur de la France et la liberté du monde.
Ce combat, je le mènerai jusqu' à mon dernier souffle et je sais que d'autres le mèneront après moi.
Même s'ils sont hélas destinés à devenir minoritaires, il restera toujours des réfractaires. Je voudrais leur dire de ne pas perdre espoir, c'est d'eux seuls que la France pourra renaître. »
Avec une verve sans pareille et dans une plainte mêlée de nostalgie, Philippe de Villiers dresse un constat accablant de l'état de la France. Il évoque ses souvenirs d'enfance, de créateur du Puy du Fou et livre des confidences sur l'homme politique qu'il a été. Philippe de Villiers se refuse à abandonner toute espérance, et son amour de la France éternelle demeure plus vivant que jamais. -
« Un roi qui perd son fils de sang a-t-il le droit de pleurer comme un être de chair ? Si je cède à l'éploration, on va me suspecter de me distraire du malheur du peuple. Et si j'ai les yeux trop secs, on va me réputer insensible au malheur de ma famille. Tant pis. Je m'abandonne à mon chagrin qui emporte mon royaume, mon État, ma charge, ma vie. Je pleure comme un petit enfant du Bon Dieu qui ne comprend pas l'amputation si soudaine, si cruelle. Je pleure comme un père qui va mettre en terre une part de ses affections, comme un roi qui voit sa lignée brisée même s'il sait que dans le mot souffrance , il y a encore le mot France . »Avec le style et le panache qui ont fait ses succès littéraires, Philippe de Villiers brosse un portrait unique, époustouflant, du Roi-Soleil, monarque qui n'eut d'autre ambition que de hisser la France au pinacle des nations.
Philippe de Villiers, auteur de nombreux ouvrages autour des grandes figures de l'Histoire de France, est le créateur du Puy du Fou. Il a notamment publié Le roman de Charette, Le roman de Saint Louis, Le roman de Jeanne d'Arc, Le mystère Clovis et La valse de l'adieu. -
Pour rendre à Jeanne, au-delà de la place qu'elle occupe dans l'Histoire, un peu son humanité et de sa fragilité, Philippe de Villiers est parti sur ses traces : il a visité et revisité Domrémy, Chinon, Orléans et Compiègne, Saint-Valéry-sur-Somme et Rouen. Il a longé la Loire, refait la route du Sacre et celle de la capture. Il s'est imprégné de l'air qu'elle a respiré, a renoué avec sa langue, son univers, les saisons de son enfance. Il a relu les dernières minutes du procès et s'est laissé habiter par la force unique de cette guerrière.
Avec le style et le panache qui ont fait le succès du Roman de Charette et du Roman de Saint Louis, Philippe de Villiers dessine ici le portrait d'une Jeanne loin des stéréotypes, celui d'une âme simple et portée par la grâce, tout entière vouée à la sincérité de son combat - à l'amour de son pays, la France.
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J'ai tiré sur le fil du mensonge et tout est venu
Philippe de Villiers
- Pluriel
- 10 Juin 2020
- 9782818506189
À la fin d'une conversation qui roulait sur la « construction européenne », l'ancien ministre des Affaires étrangères du général De Gaulle, qui savait tout sur tout le monde, laissa tomber d'un air entendu : « Philippe, il vous suffira de tirer sur le fil du Mensonge et tout viendra... »
Des décennies plus tard, en y consacrant un temps discret et beaucoup d'ardeur, bénéficiant par ailleurs de complicités au plus haut niveau des arcanes de l'Europe, Philippe de Villiers décide de tirer sur le fil.
Alors tout est venu.
Il a mené ses recherches jusqu'au bout du monde, à Stanford, à Berlin, à Moscou et partout où pouvaient se trouver des documents confidentiels récemment déclassifiés. Et les archives ont parlé. Elles ont livré des secrets dérangeants.
L'envers de l'Europe est apparu. Ce n'est pas du tout ce qu'on nous avait dit.
De ce travail d'enquête, Philippe de Villiers a fait un livre de révélations sur le grand Mensonge. Il a résolu de publier les preuves. Elles sont accablantes. Tout y passe : les Mémoires apocryphes, les dollars, la CIA, les agents, le passé qu'on efface, les allégeances qu'on dissimule, les hautes trahisons.
Le récit est parfois glaçant. Mené au rythme d'une enquête haletante, il se lit comme un polar. On n'en ressort pas indemne. C'est la fin d'un mythe : ils travaillaient pour d'autres et savaient ce qu'ils faisaient, ils voulaient une Europe sans corps, sans tête et sans racines. Elle est sous nos yeux. -
Les gaulois réfractaires demandent des comptes au nouveau monde
Philippe de Villiers
- Fayard
- 10 Juin 2020
- 9782213717487
Ce livre se lit d'une traite, à bride abattue.
Il porte la rage des « Gaulois réfractaires » et la met en récit pour la rendre intelligible à ceux qui la ressentent.
C'est la chronique glaçante d'une histoire terrifiante : on y découvre le chemin des aveuglements qui a conduit à cette débâcle, l'engrenage des mensonges, la révélation hallucinante des alertes des militaires, les ignorances savantes du biopouvoir liberticide ; sans oublier un morceau d'anthologie : la rencontre du Puy du Fou, quand Emmanuel Macron s'enivrait encore de l'Ancien Monde.
La plume de Philippe de Villiers est inspirée. On se laisse emporter par l'expression aboutie, dense, littéraire et cinglante de la colère qui gronde partout aujourd'hui contre le Nouveau Monde, mort du coronavirus. -
« Ce que nous avons vécu a déjà été joué. À New-York. Lors d'une réunion ou plutôt d'un exercice de simulation d'une pandémie de coronavirus, le 18 octobre 2019 ; tout a été filmé et se trouve sur internet. Cela s'est passé plusieurs mois avant la survenance du virus. En réalité, les participants - les géants du capitalisme de surveillance- anticipaient ainsi la catastrophe à venir. Ils avaient voulu un monde d'un seul tenant, sans cloisons. Ils savaient que ce monde-là serait hautement pathogène. Ils le savaient et ils s'y préparaient. Ils attendaient la pandémie et ils la voyaient venir. Quand elle survint, ils la saluèrent comme « une fenêtre d'opportunité ». Pour les rentiers du numérique et de la Big Tech, ce fut une aubaine. Mais aussi pour les gouvernements qui mirent au ban d'essai l'idée d'une « société disciplinaire ». Ainsi les élites globalisées ont-elles préparé le jour d'après. Occasion rêvée pour tout changer, changer la société, changer de société. Et imposer enfin leurs codes de désocialisation, leur esthétisme woke, leur idéologie du Bien total. ».
Ayant entre les mains des éléments d'information fiables, recoupés, glaçants, Philippe de Villiers a décidé de prendre la plume pour alerter les Français, en espérant contribuer ainsi à l'insurrection des consciences.
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La vérité sur l'histoire de l'islamisation de la France, par Philippe de Villiers.
La France est meurtrie par le terrorisme. Mais il y a plus grave : elle est en train de perdre son identité. Si l'on ne fait rien, selon Philippe de Villiers, la voix du muezzin couvrira le son des cloches de nos terroirs.
L'auteur a eu accès à de nombreuses informations qu'il divulgue ici pour que les Français sachent et prennent conscience de l'extrême gravité de la situation. À travers une mise en perspective vertigineuse, il rappelle comment, depuis les années 1980, notre pays a été lentement mais sûrement « islamisé ». Rien n'a été fait pour répondre aux vagues migratoires et au plan secret de l'Europe. Pire, ce projet d'un « Eurislam », révélé ici au grand jour, a été encouragé par les élites françaises.
Il faut renouer avec notre pays. Philippe de Villiers propose d'inventer un nouveau roman national qui soit un roman d'amour. Pour que chaque Français puisse partir dans la vie avec un bagage imaginaire qui porte ses rêves.
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« Je rêvais de retrouver la trace et l'image d'un saint Louis à l'humanité sensible, un saint Louis de chair, à figure humaine. Le temps, en l'élevant au-dessus de nos natures, lui a peut-être rendu un mauvais service. Il m'a imposé d'aller puiser aux sources les plus authentiques. Là où repose le trésor des paroles vivantes, laissées par les premiers témoins. Ceux qui ont vraiment connu le roi Louis IX, qui l'ont approché, accompagné depuis l'enfance jusqu'au trépas. J'ai remonté le filet d'eau vive. Je n'ai rien inventé. Ni les événements, ni les personnages, ni même l'insolite. Il m'a fallu plonger dans l'époque, en étudier la vie quotidienne dans ses moindres détails, sentir battre les passions, pour faire revivre un saint Louis de notre temps ».Philippe de Villiers
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Dans une évocation gorgée de couleurs fortes et de furieuses sonorités, Philippe de Villiers fait revivre Clovis et lui donne la parole. Le roi fondateur dévoile les épisodes les plus intimes, les plus secrets, de ses enfances, de ses amours, de ses chevauchées.Ce livre éclaire d'un jour nouveau le mystère de sa conversion, rétablit la vérité sur la date de son baptême et renouvelle ainsi la perspective symbolique de tout notre passé, de notre destin.Au fil d'un récit haletant, affleurent parfois des correspondances troublantes entre les tribulations du monde de Clovis et les commotions de notre temps : le va-et-vient des peuples en errance, les barbares, les invasions, les fiertés évanescentes, les civilisations qui s'affaissent...Une restitution spectaculaire, passionnante, inattendue, qui nous fait revivre comme jamais les temps mérovingiens et les origines de la France.
Philippe de Villiers, auteur de nombreux ouvrages autour des grandes figures de l'Histoire de France, est le créateur du Puy du Fou. Il a notamment publié Le roman de Charette, Le roman de Saint Louis, Le roman de Jeanne d'Arc et La valse de l'adieu. -
Le moment est venu de dire ce que j'ai vu
Philippe de Villiers
- Pluriel
- Pluriel
- 6 Octobre 2021
- 9782818506493
Sa carrière d'homme politique achevée, Philippe de Villiers révèle, avec la verve qu'on lui connaît, les dessous de la classe politique qu'il a côtoyée.
« J'ai été un homme politique. Je ne le suis plus. Ma parole est libre. Je suis entré en politique par effraction. Et j'en suis sorti avec le dégoût.
Le désastre ne peut plus être maquillé. Partout monte, chez les Français, le sentiment de dépossession. Nous sommes entrés dans le temps où l'imposture n'a plus ni ressource ni réserve. La classe politique va connaître le chaos. Il n'y a plus ni précaution à prendre ni personne à ménager. Il faut que les Français sachent. En conscience, j'ai jugé que le moment était venu de dire ce que j'ai vu. ».
Philippe de Villiers
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« Combattu souvent, battu parfois, abattu jamais » : la vie de François-Athanase Charette de la Contrie est à l'image de sa devise. Vendéen comme lui, Philippe de Villiers nourrit depuis longtemps un attachement tout particulier pour ce héros dont le destin fait écho à sa propre histoire familiale. Au point de s'identifier à lui et de ressusciter, sous forme de mémoires imaginaires, la vie aventureuse de cet homme aussi séduisant qu'intrépide, fidèle envers et contre tout à une cause : « la Patrie, la Foi, le Roi ».De sa brillante carrière dans la Marine royale, intégrée à l'âge de quatorze ans, à ce jour de 1793 où, à la tête d'une troupe de paysans du Marais breton, Charette part à l'assaut de la République, Philippe de Villiers ressuscite la flamboyante épopée d'un homme dont l'audace et le courage, la personnalité singulièrement libre et moderne, n'ont pas fini de fasciner.
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Sur une petite colline abandonnée des hommes, enfouie dans l'oubli, un jeune homme dépose son rêve d'enfance.Très vite, il se heurte à des difficultés qui paraissent insurmontables. Toutes les conditions sont réunies pour l'échec.Le 16 juin 1978, la colline va s'embraser. La Cinéscénie du Puy du Fou est née. Puis le Grand Parc de l'Histoire de France, la Cité Nocturne, etc...Le Puy du Fou va devenir un fleuron français, un haut-lieu de la mémoire vivante.Au fil d'un récit haletant, Philippe de Villiers révèle comment les obstacles furent avalés. Il raconte la genèse d'un succès foudroyant qui a porté, en quelques décennies, le Puy du Fou sur le toit du monde.Aujourd'hui, depuis Los Angeles, les oscars et récompenses pleuvent. De nombreux pays, de l'Espagne à la Chine, sollicitent le Puy du Fou pour mettre en valeur leur culture, leurs racines. « Chacun veut son Puy du Fou».C'est toute cette histoire improbable que raconte Philippe de Villiers. Et il s'interroge en conclusion : « Pourquoi donc le Puy du Fou connait-il une telle longévité ? Pour trois raisons : l'Idée ne s'est pas affadie, le feu créatif ne s'est pas éteint et nous avons gardé nos ferveurs ».Le Puy du Fou est une oeuvre humaine, fragile, qui n'est pas tout à fait dans la main des hommes.
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La France est en danger. Ce danger, c'est celui qui, du terrorisme à l'islamisation douce, impose au pays d'autres moeurs, d'autres croyances que les siennes. Une menace bien réelle -confirmée par des notes alarmistes du ministère de l'Intérieur publiées pour la première fois- pèse sur certains aéroports français, noyautés par une filière organisée par des militants d'un petit village algérien qui serait en train de prendre le contrôle de zones en théorie " sécurisées " par les services spécialisés.
Mais au-delà des armes et de la terreur, les esprits aussi peuvent être contrôlés par des moyens apparemment pacifiques. Philippe de Villiers s'inquiète ainsi de l'existence d'une véritable " censure islamique " qui veille, parfois avec succès, sur les programmes scolaires et la façon dont les enseignants traitent des religions. Même si c'est encore exceptionnel , certains professeurs ont été blâmés pour leur approche du Coran ou de Mahomet.
En comparant la situation française avec ce qui se passe à l'étranger, notamment aux Pays-Bas, Philippe de Villiers nous met en garde : l'islamisation de la France n'est pas un slogan, mais une menace qui peut devenir vite très réelle si nous renonçons à défendre nos valeurs.
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Avant le traité d'Amsterdam, la Constitution était la loi suprême du peuple français. Elle n'est l'est plus.Les compétences déléguées devaient, d'après notre Constitution, être précises et limitées. Elles ne le sont plus.La souveraineté nationale reposait sur la maîtrise du territoire. Ce principe n'existe plus.La politique étrangère devait être décidée librement. Ce n'est plus le cas.Le peuple français était seul maître de son destin. Il ne le sera plus.La prochaine ratification à la sauvette, sans référendum, du traité d'Amsterdam, scandalise Philippe de Villiers qui n'a pas l'habitude de mâcher ses mots. Il démonte ici le mensonge d'État, la machination, que représente selon lui un traité qui abolit la souveraineté nationale et légitime l'activisme totalitaire de Bruxelles.Une France assujettie au diktat «eurocratique», soumise au super-État bruxellois, voilà ce qui nous attend. Oui, avec Amsterdam, tout -immigration, sécurité, vie quotidienne, etc.- sera décidé ailleurs. Et ce déménagement clandestin se prépare dans la plus grande tranquillité...Le pronostic du président du Mouvement pour la France est-il sévère?«Je le suis infiniment moins, répond l'auteur, que ne le sera l'Histoire avec nos responsables politiques, que ne le sera le peuple français quand il nous demandera: qu'avez-vous fait de la France?»
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Dictionnaire du politiquement correct a la francaise
Villiers Philippe
- Albin Michel
- 21 Mars 1996
- 9782226085559
Les mots ne suivent plus, en France, une carrière normale. Ils sont gonflés aux anabolisants de la société médiatique et prennent du volume à mesure qu'ils perdent leur sens. Les charlatans de la sémiotique vendent du bonheur et de la compassion à une société en émoi, orpheline de dialectique et de vérité.Contre cette dépression nimbée d'optimisme planétaire qui nous vient des États-Unis, le pays multiculturel du «politically correct», Philippe de Villiers s'insurge. Il ridiculise le code, le lexique et le système de signes imposé par les intellectuels progressistes qui, en décidant des mots à prononcer et des expressions à bannir, imposent un nouvel ordre politique et médiatique. Selon que vous êtes correct ou incorrect, vous serez promu, choyé, reconnu ou vous serez jeté aux chiens, désigné à la vindicte.Face à cette police des idées, avec la liberté de ton et le talent d'observateur dont il avait fait montre dans La Chienne qui miaule et La Société de connivence, Philippe de Villiers répertorie les termes détournés (crise, famille...), les formules imposées par les adeptes de la pensée unique (couple franco-allemand...) et les mots interdits (valeurs, immigration...).Contre les nouveaux conformistes, un exercice aussi brillant que salutaire, pour décrypter notre vocabulaire piégé.
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Le redressement de la france - il est encore possible...
Villiers Philippe
- Francois-Xavier De Guibert
- 7 Mai 2003
- 9782868398420
La situation économique de la France est grave. Le chômage très important s'aggrave à nouveau et les dépenses publiques, toujours aussi élevées, étouffent le pays. Les problèmes qui s'accumulent pourraient devenir explosifs, faute de solutions rapides. Confrontée à des difficultés et à une insidieuse érosion de sa position dans le classement mondial des nations, la France saura-t-elle utiliser les atouts dont elle dispose ? Le choix s'impose entre le renouveau et la poursuite du déclin. Cet ouvrage propose un plan d'action complet, ambitieux et chiffré, pour assurer le redressement de notre pays. L'autorité de l'État étant restaurée, la politique à mettre en oeuvre devra être fondée sur la liberté et la nation. Une réduction rapide et significative des impôts, des charges et des dépenses publiques, libérera les moyens de créer, d'entreprendre, de travailler. Une véritable bataille économique doit être engagée pour le retour au plein emploi. Remettre la France au travail et réformer notre système de protection sociale sont des tâches prioritaires. Une souveraineté restaurée, une identité sauvegardée par la maîtrise de l'immigration permettront à la nation de regarder à nouveau l'avenir avec confiance. Le Gouvernement formé en juin 2002, soutenu par une large majorité parlementaire, dispose d'atouts nombreux. On attend de lui qu'il fasse preuve de courage et d'une volonté politique sans faille pour mettre en oeuvre les réformes indispensables. Les conditions d'un grand essor sont à portée de main. Les Français aspirent au renouveau de la France ; ils ne veulent plus être déçus. Dans sa préface, Philippe de Villiers précise : Cet ouvrage... est un appel pressant pour un redressement national qu'on ne peut plus remettre à demain. Il nécessite une rupture totale et en profondeur avec le socialisme et l'euro-fédéralisme.
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Quand les abeilles meurent, les jours de l'homme sont comptes - un scandale d'etat
Villiers Philippe
- Albin Michel
- 11 Février 2004
- 9782226142108
" Si l'abeille venait à disparaître, l'homme n'aurait plus que quelques années à vivre ", prédisait Albert Einstein pour qui les abeilles étaient " les sentinelles du monde ".
N'en sommes-nous pas déjà là ? Après avoir eu accès au dossier explosif du Gaucho(r) et du Régent(r), deux insecticides ultra-puissants qui continuent leurs ravages dans nos campagnes, Philippe de Villiers s'interroge, révèle et sonne l'alerte. Il n'hésite pas à mettre en cause non seulement un certain productivisme irresponsable manipulé par des industriels, mais aussi la passivité complice de l'administration.
Des comportements qui peuvent nous conduire à un nouveau scandale d'État comparable à ceux de " la vache folle " ou du " sang contaminé ". Il s'appuie sur des expériences scientifiques accablantes qui montrent les risques de ces neurotoxiques pour la flore et la faune mais, au-delà, pour l'homme lui-même. Après la mort des abeilles, celle des hommes ? Une nouvelle fois, Philippe de Villiers brise la loi du silence.
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« Européen, ami de l'Amérique, j'observe que nous sommes aujourd'hui à front renversé : les Européens des nations ne veulent pas d'une Europe soumise, au moment où les Européens labellisés s'activent pour faire de l'Europe un comptoir franchisé de l'Amérique. Cette Europe à la dérive n'est plus qu'un concours de lâcheté. Elle est de moins en moins européenne, de plus en plus atlantique et bientôt elle sera eurasiatique. À vingt-cinq pays, l'Union européenne n'a plus aucune chance face à l'Amérique d'installer une puissance de contrepoids ; elle sera, demain plus qu'hier encore, une puissance additionnelle, supplétive, la 51ème étoile du drapeau américain. » P. de V.
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Il y a une France qui perd. Mais il y a aussi une France qui gagne. La preuve ? Les résultats obtenus, chez lui, par le président du Conseil général de la Vendée, Philippe de Villiers. En quelques années, il a fait de la Vendée une terre de réussite insolente. Multipliant les innovations et les performances nationalement reconnues, la Vendée est aujourd'hui classée à la première place de tous les palmarès des grands magazines : premier département de France pour le dynamisme économique, le bien-être social et culturel, la qualité de la vie pour les personnes âgées, la réinsertion des Rmistes, etc. Dans de très nombreux domaines, la Vendée fait la course en tête, à l'image du Vendée Globe, " l'Everest des mers ", qui porte
l'écho de ces succès et de ces conquêtes sur toutes les mers du monde. Bien sûr, la Vendée n'est pas toute la France. Mais les recettes appliquées sur un morceau du territoire pourraient bien réussir sur
le territoire tout entier, pour peu qu'on s'avise d'utiliser la même méthode : en s'appuyant sur le sentiment d'appartenance, le patriotisme populaire, qui, embrasant les volontés, font monter les regards
vers les cimes. Pourquoi ne pas confier les destinées du peuple français à un homme qui a réussi chez lui ? Voilà la question posée par ce livre-projet qui délivre, en filigrane, le message d'une nouvelle espérance française.