Dans ce guide illustré, Élie Durel vous invite à découvrir le littoral vendéen : sa faune, sa flore, ses sites classés et sauvages.
56 pages pour tout savoir de l'origine des phares et feux de Vendée, et de leur mise en place sur les côtes à partir de 1827 au nord-ouest de Noirmoutier.
De leur construction à leur entretien par le service des phares et balises en Vendée basé aux Sables-d'Olonne, vous saurez tout de ces édifices emblématiques de la côte vendéenne.
Grâce à des informations précises sur la classification des phares et feux de Vendée, ou leur signature lumineuse, vous pourrez vous aussi tenter de reconnaître les phares et feux vendéens à la manière des marins !
En fin d'ouvrage, Élie Durel vous indique également quels phares peuvent encore se visiter.
Sur la place de l'Aiguillon, non loin de l'embouchure de la Sèvre Niortaise, un jeune garçon découvre un flacon contenant un message de détresse.
Sa grand-mère le porte à la gendarmerie. Par sa teneur et certains détails, le SOS est pris au sérieux. Une jeune femme gendarme prend très à coeur cette affaire qui relance les recherches sur la disparition de la jeune Sarah. Devenu commissaire de police, Richard, le frère de Sarah, s'implique lui aussi dans les investigations. Si sa soeur est en vie, il a tout intérêt à la retrouver le premier. En fait, c'est lui qui est découvert mort dans une conche de la Venise verte. Le cadavre d'un jeune homme y est lui aussi repêché. De qui s'agit-il ? Y a-t-il un lien avec la mort du commissaire ? Si la survie de Sarah reste du domaine du possible, les enquêteurs ne parviennent pas à retrouver sa trace. Pourtant, la perspicacité et la ténacité de la gendarme vont non seulement contribuer à d'étonnants rebondissements, mais aussi à un dénouement pour le moins inattendu.
Cet ouvrage vous permettra d'apprendre le rôle que tiennent les moulins en Vendée : leur histoire, leur place dans l'économie régionale, leur fonctionnement et leur structure .
L'auteur s'arrête également sur le travail de la farine comme celui e?ectué au moulin Chateauneuf. Faites avec ce livre une visite guidée des moulins, patrimoine vendéen.
Tout savoir de ce site si fascinant : trait d'union entre Noirmoutier et Beauvoir-sur-Mer qui se découvre toutes les six heures pour les marées. Cet ouvrage vous permettra de découvrir les richesses de ce lieu ; une étape du tour de France, un lieu de pêche où s'organisent des concours, ou encore une source d'inspiration pour les mythes et légendes. Richement illustré, cet ouvrage vous permettra de visiter ce lieu et de connaître ses mille curiosités. Des encadrés proposent même des recettes pour goûter et pro?ter des saveurs de la mer, o?ertes par la pêche à pieds.
Elie Durel mène ici l'enquête et procède à une analyse précise de cette histoire aussi extraordinaire que complexe. Que s'est-il passé la nuit du 16 au 17 juillet 1918 où Nicolas II, le dernier Tsar de toutes les Russies, son épouse et leurs cinq enfants se sont volatilisés ? Au terme de ses investigations, il ne peut que con?rmer l'intime conviction de son informateur privilégié : la Famille Impériale n'a pas été massacrée dans la maison Ipatiev et l'une des Grandes-Duchesses aurait bien survécu, mais il ne s'agit pas d'Anastasia.
Grâce à cette synthèse illustrée de 56 pages, vous saurez tout de la vie d'Aliénor d'Aquitaine.
De son enfance à Poitiers, à la cour de son grand-père le duc d'Aquitaine Guillaume IX, à son mariage avec le futur roi de France Louis VII, et son arrivée au rang de reine à seulement 13 ans, Alienor d'Aquitaine aura une vie remarquable sous bien des aspects, et d'une étonnante modernité : elle convaincra ses vassaux de partir en croisade, divorcera et se remariera avec Henri, duc de Normandie et d'Anjou. Elle participera avec son époux à la grande révolte contre son père le roi d'Angleterre, et sera retenue captive au château de Chinon.
De nombreuses légendes entourent également la vie de cette souveraine : dans ce guide essentiel, Élie Durel vous fera découvrir l'histoire de cette reine qui a marqué l'histoire par son parcours plein de richesse.
Léonard de Vinci a soixante-quatre ans lorsqu'il répond à l'invitation de François Ier, alors au sommet de sa puissance. Le roi de France installe le génial vieillard au manoir du Cloux (aujourd'hui le Clos-Lucé) à Amboise et lui donne le titre de « Premier peintre, ingénieur et architecte du roi». Durant les deux années et demie qu'il lui reste à vivre, l'auteur de La Joconde est toujours aussi prolifique, il organise des fêtes à la gloire de son ami le roi et conçoit des projets grandioses : une nouvelle capitale royale à Romorantin en Sologne et le château de Chambord, une oeuvre d'art unique au monde. Le palais royal et la ville nouvelle de Romorantin sont restés à l'état d'études sur le papier et Léonard de Vinci ne verra pas la construction de Chambord, dont certains aspects laissent à penser qu'il est bien l'auteur des plans, au moins partiellement. Au Clos-Lucé, l'univers de Léonard a été fidèlement reconstitué. On peut y découvrir le peintre, le sculpteur, l'architecte, l'inventeur futuriste, l'ingénieur militaire, le mathématicien, le géologue, l'anatomiste, le botaniste qu'était cet extraordinaire génie universel que des chercheurs tentent de mieux comprendre.
En 1859, l'impératrice Eugénie, l'épouse de Napoléon III, effectua une excursion vers le sommet de la Rhune qui offre un magnifique panorama à 360° sur la région. Cette initiative suscita un véritable engouement. L'essor touristique qui en a résulté a largement favorisé la création du Petit train quelques décennies plus tard. En effet, tout le monde n'avait pas la volonté ou la condition physique pour réaliser à pied l'ascension de la montagne mythique du Pays basque dont le sommet culmine à 900 mètres. C'est en 1908 qu'est née l'idée de construire un chemin de fer à crémaillère reliant le col de Saint-Ignace au sommet de la Rhune. Alors que la Grande Guerre se déclarait, la construction de la voie ferrée qui n'était pas terminée fut suspendue. Elle ne fut reprise qu'après l'armistice. L'inauguration du Petit train de la Rhune eut lieu en 1924. Depuis sa mise en service, rien n'a changé dans son aspect comme dans son fonctionnement. La superstructure des voitures est refaite périodiquement dans les mêmes essences d'arbres qu'à l'origine et les mécanismes sont régulièrement révisés. Quant aux locomotives, ce sont toujours les « Brown Boveri » d'origine suisse. La montée se fait 35 minutes environ et à une vitesse moyenne de 8 km/h, ce qui laisse le temps d'admirer le paysage, mais aussi la flore et la faune de la Rhune, en particulier les pottoka, les emblématiques petits chevaux semi-sauvages du Pays basque. On peut descendre à bord du Petit train ou, pour les plus courageux, emprunter à pied l'un des sentiers balisés de la montagne.
L'histoire, les usages, les métiers : le sel est ici étudié sur l'ensemble des sites français où il est présent. De sa récolte à son utilisation jusqu'à sa conservation et sa commercialisation, l'ensemble de la chaîne est photographiée et commentée.
Cet aliment incontournable sera expliqué par un auteur spécialiste du sujet.
Marchand, négociant, banquier et armateur, Jacques Coeur est né à Bourges en 1400. Il a été le premier Français à établir et entretenir des relations commerciales suivies avec les pays du Levant. Sa fortune et son talent lui valurent d'être nommé par Charles VII maître des monnaies, puis grand argentier, et d'entrer au Conseil du roi, qui l'a anobli en 1440. Jacques Coeur a contribué au redressement de la France et de la monarchie après l'éviction des Anglais du pays. Mais sa puissance, sa richesse et son orgueil ont suscité des jalousies à la Cour. Lorsqu'il a perdu la protection de la belle Agnès Sorel, la maîtresse du roi, il a été accusé de l'avoir empoisonnée et de crime de lèse-majesté pour les liens qu'il a entretenus avec le dauphin Louis, alors en disgrâce auprès de son père. Il fut jugé et ses malversations, qui n'avaient rien d'inhabituel, furent étalées au grand jour. Après trois ans de forteresse, il s'évada et trouva refuge auprès du pape. Il est mort sur l'île de Chio en 1456, lors d'une croisade contre les Turcs lancée par le pape Calixte III. Il sera justement réhabilité par Louis XI.
Le Pays basque possède une forte identité culturelle par sa langue reconnue comme entité linguistique et par ses traditions fortes. Parmi les emblèmes qui affirment cette identité, le poney pottok figure en bonne place, tant par l'origine locale de sa race millénaire que par l'espace et les paysages des Pyrénées basques où il vit en semi-liberté. Dans toute son originalité, le pottok a failli disparaître et reste encore fragile, à la merci des problèmes rencontrés par les éleveurs, notamment financiers, et par un manque de coordination entre les autorités françaises et espagnoles qui se partagent le berceau de la race. il reste encore beaucoup à faire ou à réfléchir pour préserver ce petit cheval, témoin vivant des temps préhistoriques. Cependant, il a prospéré à travers la France, hors de ses montagnes d'origine, pour le plus grand plaisir de ses propriétaires et des poney-clubs en raison de ses qualités. Toutefois, cette dissémination ne favorise pas la préservation des caractéristiques pures du pottok. Après être allé à la rencontre et à la découverte de ce petit cheval basque quasiment légendaire, il est proposé au lecteur de découvrir l'histoire de l'un d'entre eux, « Le Quinquin d'Ascain », dit Charly, un pottok du berceau, à travers le témoignage de la personne qui l'a élevé et aimé pendant quinze ans.
L'histoire de Saumur, son patrimoine architectural, sa gastronomie... Voici un ouvrage qui vous permettra de tout savoir sur la ville. Le cadre noir, le vignoble, les spécialités régionales... : ce guide aborde toutes les spécificités de la ville. Richement illustré, il vous permettra de mieux appréhender la visite de l une des plus belles communes de l Anjou. Des encadrés expliquent certaines notions en détails, des portraits présentent les personnalités emblématiques de la ville et des recettes vous permettent de goûter aux saveurs de la région.
Au XIIe siècle, Pierre Abélard, célèbre philosophe, tombe éperdument amoureux d'Héloïse. Noble et cultivée, la jeune femme le détourne de sa chasteté, ils vivent ensemble une passion hors du commun. Héloïse tombe enceinte et le jeune couple se marie secrètement. Le scandale de leur relation éclate au grand jour et Abélard subit une grave mutilation pour avoir trahi l'église. Héloïse devient abbesse du couvent du monastère le Paraclet, Abélard se retire dans l'abbaye Saint-Denis. Éloignés de leur amour, ils se consacreront à la foi et à la philosophie. Élie Durel nous offre ici l'histoire de ce couple, témoin de la révolution des moeurs qui s'est produite en France au XIIe siècle.
Classée au patrimoine mondiale de l'Unesco en 1979, la grotte de Lascaux est un emblème du patrimoine historique des terres Périgourdines, reconnue dans le monde entier. Depuis sa première exploration en 1940, ces fresques n'ont cessé d'éveiller l'imagination et la curiosité des visiteurs.
Découvrez avec cet ouvrage tous les mystères de cette grotte depuis sa découverte jusqu'à nos jours.
Femme hors du commun, Marga d'Andurain a défrayé la chronique dans l'entre-deux-guerres, pendant et après la Seconde Guerre mondiale. Elle s'est vu attribuer de nombreux surnoms, tels que :« l'aventurière basque », « la reine de Palmyre », « la Mata Hari du désert », « la comtesse aux vingt crimes », « la maîtresse de Lawrence d'Arabie », « l'amazone du désert », «l'empoisonneuse » ... Si certains sont inappropriés, ils sont néanmoins à l'image de sa personnalité excessive en tout. Dans son livre Le Mari passeport publié en 194 7, Marga se désespère de ne pas être comprise pour ce qu'elle est. De fait, personne n'a cerné quelle était sa particularité rare qui a conduit à la faire exorciser à l'âge de huit ans, à vouloir l'interner plus tard et, aujourd'hui encore, à la considérer comme une psychopathe. En réalité, son surdon explique ses actes et son incroyable destin. Sa vie riche et tumultueuse s'est terminée par une mort violente. En 1948, à cinquante-cinq ans, elle a été assassinée à bord de son yacht dans la baie de Tanger.
Journal tenu par Albert Thirault ; préfacé, commenté, annoté et documenté par Élie Durel Ancien officier de cavalerie (Chasseurs d'Afrique), Albert Thirault est un authentique héros de la Grande Guerre. En 1940, il est employé comme personnel civil au dépôt du Génie à Angers. Alors que son fils aîné et son gendre sont au front où ils seront faits prisonniers, Albert Thirault, alors âgé de tout juste soixante ans, veut les rejoindre. Il demande à « rempiler », ce qui lui est refusé avec une surprenante polémique venant du commandement militaire. Révolté, il écrit au président du Conseil. Lorsque les Allemands arrivent à Angers, avec sa famille (son épouse, sa belle-mère, sa belle-fille, ses deux filles et son fils) Albert Thirault prend la route de l'exode, vers le sud de la France. Au cours de l'été 1940, il tient un journal où il consigne au jour le jour leur vie quotidienne et les événements vécus. Lui qui a « bouffé du Boche » et a dénoncé l'angélisme et le pacifisme d'avant-guerre, considère désormais que les Allemands vont mettre les Français au pas et au travail. Alors qu'il n'est ni collabo ni pétainiste, il en vient à considérer que les deux peuples réunis, avec leurs qualités et leurs défauts respectifs, seraient voués à un bel avenir. Une prémonition de la future construction européenne ?
En 1964, dans un aven du piton de Montségur en Ariège, des spéléologues ont découvert deux squelettes allongés côte à côte et ensevelis sous des pierres. Il s?agit des restes d?un homme et d?une femme d?une quarantaine d?années tués l?un et l?autre d?un carreau d?arbalète. Tout laisse à penser qu?il s?agit de défenseurs du dernier refuge de la haute hiérarchie cathare. L?auteur leur a prêté une identité et une existence qui permet de revivre par eux la brillante civilisation cathare et le véritable holocauste qui tourmente aujourd?hui encore les consciences.
L'auteur de cet ouvrage revient sur un événement tragique par lequel il a été bouleversé : un camion-citerne de 9000 litres d'essence percute l'entrée de la propriété de ses grands-parents lorsqu'il a neuf ans.
Il retrace le chemin e?ectué ensuite, psychologiquement : constructions mentales, verrous, questions, réouverture, remords. qui le conduisent à mettre sa vie en danger dans des aventures en bord de Loire. Sa vie à l'épreuve, il sort ainsi d'un naufrage psychique irréversible.
L'auteur souhaite ainsi témoigner de sa propre quête psychique réalisée dans des expériences dangereuses, et livrer au lecteur les leçons qu'il en a tirées.
Louis XIV a enterré la réputation du plus grand corsaire français? il est temps de la faire renaître.Jacques Cassard fut sans doute l'homme le plus emblématique de la marine de guerre française, mais aussi un corsaire fort redouté des ennemis de Louis XIV.
Il fait ses premières armes de marin vers douze ans. À quatorze ans, orphelin de père, il devient subrécargue (gestionnaire de cargaison) sur un navire marchand et obtient son brevet de capitaine à vingt ans seulement.
La guerre et son ressentiment personnel à l?égard des Anglais et des Hollandais l?amènent vers l?activité de corsaire qui lui permet de se fait remarquer par sa bravoure et ses talents de man?uvrier.
Le comte de Pointis, officier de la Marine royale, l?enrôle pour son expédition vers la Carthagène des Indes, en Amérique où il s?illustre lors de la prise de cette opulente ville espagnole.
Désormais au service de la France, il porte secours à des convois de bleds (céréales) menacés par la flotte anglaise en Méditerranée, alors que les Provençaux sont menacés de famine. Pourtant, il n?est pas dédommagé de ses escortes et les procès qu?il engage restent vains.
Corsaire du Roi-Soleil, puis officier de la Marine royale, mieux qu?un Duguay-Trouin ou qu?un Jean Bart, Jacques Cassard porte les coups les plus rudes aux puissances maritimes en guerre contre la France.
La Croix de l?Ordre royal et militaire de Saint-Louis lui est attribuée, mais il ne la reçoit qu?après la mort de Louis XIV, et sans pension, ce qui est pour lui un nouveau motif d?amertume.
Victime de ses déboires financiers et de son mauvais caractère, mais aussi de la raison d?État et de sa brouille avec le Roi Soleil, il finira sa vie dans l?oubli total, à la forteresse d?Ham, dans la Somme.
Christian Dureau présente ici l un des plus grands édifices religieux de France : l'abbaye royale de Fontevraud. Sa fondation par Robert d Arbrissel en 1101, sa fonction de nécropole royale d une des plus grandes dynasties d Angleterre (les Plantagenêts), puis de prison... Il revient sur l histoire de ce monument hors du commun, mais aussi sur son architecture. Le Grand-Moûtier, le prieuré Saint-Jean-de-l'Habit, le prieuré Sainte-Marie-Madeleine, la salle capitulaire, la construction de chaque partie du monument est expliquée en détail. Cet ouvrage vous permettra de tout savoir sur l abbaye et vous guidera lors de vos visites.
Née en 1477 à Nantes, Anne de Bretagne est très célèbre par son destin unique dans l'histoire de France. Belle, talentueuse et instruite, elle a été une femme au caractère affirmé qui a toujours su maintenir autour d'elle la gravité et la modestie nécessaires à un pouvoir ferme, mais juste. Si sa postérité est souvent magnifiée, par son parcours et sa personnalité elle laisse d'elle l'image d'une duchesse proche de son peuple et soucieuse de conserver l'indépendance du duché de Bretagne vis-à-vis du royaume de France. Cette indépendance affirmée solennellement par tous les ducs bretons en montant sur le trône ducal, elle l'a défendue jusqu'à sa mort. Pourtant, elle a été deux fois reine de France, à 15 ans puis à 22 ans, justement pour sceller par un mariage, avec Charles VIII puis Louis XII, l'union du duché de Bretagne à la France. À seulement 37 ans, elle s'est éteinte au château de Blois puis a été inhumée à la basilique Saint-Denis près de Paris. Son coeur, placé dans un reliquaire, a été transféré à Nantes, selon sa volonté.